Charles Leclerc : « Ce serait bien qu’un Grand Prix en France revienne »

Charles Leclerc au Grand Prix de France 2022, le dernier ayant eu lieu dans l’Hexagone. (Crédit : Marius Druart)

Un raz-de-marée. C’est l’effet provoqué lorsque Charles Leclerc est arrivé dans l’enceinte du circuit Paul-Ricard. Le pilote Ferrari avait été invité par Jean Alesi il y a plusieurs jours. Dès le matin, les fans étaient nombreux à chercher le lieu d’arrivée de Charles Leclerc. Seule une information avait été dévoilée par Julien Fébreau dans la matinée : 11h20. Il n’en fallait pas davantage. Une fois sur le circuit, le pilote a enchaîné. Bain de foule, parade avec d’anciens champions, interviews sur la grille… Sans oublier de montrer son attachement au Grand Prix de France, et pas seulement celui historique.

« C’est exceptionnel l’ambiance ici »

« C’est exceptionnel l’ambiance ici, c’est une manifestation magnifique et de voir autant de passion et de passionnés c’est beau« , a déclaré Charles Leclerc, interviewé sur la grille de départ. Le Monégasque a eu le privilège de profiter de cette passion, en montant à bord de la Ferrari 330 P4 avec Jean Alesi. Un moment unique avec de grandes sensations. « Exceptionnel, ce sont des voitures magnifiques« , a-t-il rajouté à la sortie de la monoplace au micro d’AutoHebdo.

Si l’accès à la grille était restreint, le Monégasque a pu profiter des cris des fans tout autour. Dans les gradins comme à travers les grillages. « Je suis vraiment content d’être ici et de partager cette passion du Grand Prix Historique avec autant de gens, c’est génial. Je m’attendais à voir du monde mais clairement pas autant que ça« , a conclu Charles Leclerc sur le sujet.

« Ce serait bien qu’un Grand Prix en France revienne »

Au-delà de l’ambiance et de la passion, le natif de Monaco a rappelé son envie de voir revenir le Grand Prix de France au calendrier. Ce Grand Prix Historique « démontre que ce serait bien qu’un Grand Prix en France revienne« , a déclaré Charles Leclerc.

Après Julien Fébreau, Alain Prost et Jean Alesi, c’est désormais Charles Leclerc qui clame son envie de revoir la France faire les grandes heures de la Formule 1. Ce week-end montre d’ailleurs à quel point la France est liée à la F1 et à son histoire.